Les nuages présents juste au-dessus de la Cité du Centenaire ont dissuadé nombre de participants potentiels. Nous pouvons toutefois estimer qu’ayant franchi nettement la barre de 200 entrées payées, le bilan est satisfaisant. Les kakémonos présentant les actions du club et les publicités de nos sponsors balisaient le passage vers les inscriptions. Aussitôt après, Christine […]
AUTOUR DU LAC – DIMANCHE 30 JUIN 2024 Lire la suite »
A cet endroit, où la présence humaine est importante, les espèces d’oiseaux les moins farouches se permettent de nous rendre visite. Le rouge-gorge monte la garde sur un perchoir bas et son sifflement flûté se fait entendre régulièrement.
Hautpoul est un des plus importants sites fortifiés de la Montagne Noire, composé du castrum qui domine la vallée de l’Arnette depuis plus de 1000 ans et de la colline portant l’église de Saint –Sauveur autour de laquelle se trouvait un habitat conséquent durant plusieurs siècles.
Les châtaigniers forment un liseré le long des gorges de l’Arnette. Ces arbres à fruit s’étagent entre 250 et 500 mètres. Le géographe André DAVID précisait dans son ouvrage sur la Montagne Noire, « Mazamet semble donc être le centre d’une châtaigneraie privilégiée »
Au pied du château et du village d’Hautpoul, coule l’Arnette. La rivière est utilisée de temps immémorial pour faire fonctionner les moulins à grains encore attestés dans la toponymie : Moulin Maurel, Moulin de l’Oule.
Cette église portait autrefois le nom de Saint – Pierre d’Hautpoul et elle est encore le centre de la plus ancienne paroisse de la commune de Mazamet qui s’étend sur les hauts plateaux de l’Hautpoulois.
Le village de Labrespy s’est développé à l’époque médiévale autour d’une maison fortifiée qui surveillait un petit col, entre la vallée de l’Arnette à l’est et la vallée du Linoubre à l’ouest, et où se rejoignaient plusieurs voies de communication. Son nom tire son origine des aubépines que l’on plantait autour des prés et des champs en guise de clôture
Ce cours d’eau, affluent du Linoubre, prend sa source dans les zones humides situées 800 m en amont, aux confins des départements du Tarn et de l’Aude. C’est un cours d’eau frais, bien oxygéné et exempt de toute pollution constituant un réservoir biologique favorable à la reproduction et au développement de la Truite fario
